TF Présentation de Atmosphere
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TF Présentation de Atmosphere
Rappel du premier message :
Comme vous savez tous, je suis dans la ville de Montréal au Canada. Je suis de plus en plus connu dans ce Forum. J'ai deux gars Marc 28 ans et Yves 25 ans. Chacun a une copine et reste à différent endroit.
Si vous passer un jour à Montréal , faite moi signe car vous serez les Bienvenue.
Comme vous savez tous, je suis dans la ville de Montréal au Canada. Je suis de plus en plus connu dans ce Forum. J'ai deux gars Marc 28 ans et Yves 25 ans. Chacun a une copine et reste à différent endroit.
Si vous passer un jour à Montréal , faite moi signe car vous serez les Bienvenue.
Re: TF Présentation de Atmosphere
eT la photo des pingouins que j ai mise pour mon avatar bien ce sont des vrais je veux dire qu ils sont photographier sur place
Dossier Le 84
[flash]Dossier Départemental sur les Risques Majeurs dans le Vaucluse[/flash]
LES RISQUES TECHNOLOGIQUES, CONSÉQUENCES
D’UNE IMPORTANTE ACTIVITÉ HUMAINE
La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est la seconde région française pour les
ouvrages hydroélectriques et l’une des premières pour son réseau hydraulique de
surface. Elle abrite des activités nucléaires sur 4 sites. Elle est la deuxième région
française pour le nombre d’installations industrielles dites « SEVESO seuil haut ».
Située sur l’axe rhodanien, elle est un espace de transit vers l’Espagne et l’Italie,
notamment de matières dangereuses. Enfin elle comporte plus de 300 sites de tra-
vaux souterrains, de mines ou de carrières susceptibles de déstabiliser les sols.
Site santé
http://www.sante.gouv.fr > alertes sanitaires
Directions régionales d’action sanitaire et sociale (DRASS)
http://www.paca.sante.gouv.frCartes de vigilance de Météo France
http://www.meteo.fr
La foudre sous surveillance
http://www.meteorage.fr
Adresses
et liens utiles
LES RISQUES TECHNOLOGIQUES, CONSÉQUENCES
D’UNE IMPORTANTE ACTIVITÉ HUMAINE
La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est la seconde région française pour les
ouvrages hydroélectriques et l’une des premières pour son réseau hydraulique de
surface. Elle abrite des activités nucléaires sur 4 sites. Elle est la deuxième région
française pour le nombre d’installations industrielles dites « SEVESO seuil haut ».
Située sur l’axe rhodanien, elle est un espace de transit vers l’Espagne et l’Italie,
notamment de matières dangereuses. Enfin elle comporte plus de 300 sites de tra-
vaux souterrains, de mines ou de carrières susceptibles de déstabiliser les sols.
Site santé
http://www.sante.gouv.fr > alertes sanitaires
Directions régionales d’action sanitaire et sociale (DRASS)
http://www.paca.sante.gouv.frCartes de vigilance de Météo France
http://www.meteo.fr
La foudre sous surveillance
http://www.meteorage.fr
Adresses
et liens utiles
Re: TF Présentation de Atmosphere
Ci haut c'est un aperçu et j'avais noter autre chose dans Nucléaire et je vous ai dit l'adresse de ce lien merci d'y aller À bientôt
Re: TF Présentation de Atmosphere
Vivement un printemps québécois
17 février 2012
|
Lise Payette
|
Québec
J'ai aimée lire cet article donc je vous en fait part
Quand je suis arrivée en politique, il y avait une histoire qui se
racontait dans le milieu à Québec, une histoire qui m'avait fait
beaucoup rire. C'était l'histoire de ce ministre qui rencontrait son
sous-ministre pour la première fois et qui lui tenait un long discours
sur la nécessité de toujours lui fournir les chiffres dont il avait
besoin afin de servir ses concitoyens au meilleur de sa connaissance.
Pour tester le sous-ministre, il lui demandait s'il était fort en
chiffres et le mettait à l'épreuve immédiatement.
— 2 + 2, ça fait combien?
Le sous-ministre réfléchit pendant un moment puis il répondit:
— Ça dépend. Combien voulez-vous que ça fasse, Monsieur le Ministre?
En politique, s'il faut en croire cette histoire, les chiffres peuvent
s'utiliser de beaucoup de façons. On peut transformer des pertes en
profits ou l'inverse, ça dépend de ce qu'on a à prouver. On peut choisir
de faire la démonstration que tout va bien dans le meilleur des mondes
ou d'afficher une satisfaction de soi qui devrait rassurer le bon
peuple. On peut faire le contraire en criant que tout va mal et
justifier ainsi qu'on aille vider les poches des citoyens à qui on
refile la facture parce qu'il faut remplir la caisse qu'on a vidée.
Le budget d'un gouvernement m'est toujours apparu comme une sorte de
conte pour enfants sages qui prennent les engagements des élus au
premier degré et qui ne voient pas les immenses trous qui devraient
susciter leurs interrogations. Nous devrions peut-être écouter avec plus
d'attention la présentation des budgets du gouvernement d'Ottawa ou
celui de Québec dans les semaines qui viennent. Que savez-vous des
derniers budgets des villes de Montréal, de Québec ou de Laval? Partout
le ton est le même, celui de nous convaincre que nos élus savent où ils
s'en vont, mais qu'il se peut qu'ils aient besoin de notre argent pour y
arriver. Un peu plus gros. Un peu plus cher. Rien de nouveau. La
chanson est toujours la même.
Chaque fois, pour ma part, je me dis que si on dirigeait des entreprises
comme les élus dirigent un pays ou une ville, il y a longtemps que nous
serions tous en faillite. Le cas de la Grèce, on le sait maintenant,
n'est pas unique. Je ne dis pas que toutes les entreprises sont bien
dirigées... oh que non. Ni les privées ni les publiques. Là aussi il y a
des abus visibles à l’œil nu. Quelques récentes fermetures devraient
nous aider à comprendre comment on devient riche en laissant les
travailleurs dans la rue. C'est un sport qui se pratique pas mal en ce
moment et ça fait encore plus mal quand les entreprises quittent le pays
en emportant les subventions que nous leur avons fournies pour qu'elles
s'installent chez nous.
Depuis quelques jours, le gouvernement Charest jette littéralement
l'argent par les fenêtres. Il met la table pour une élection qui
pourrait être déclenchée assez rapidement dès qu'une pointe de «ciel
rouge» fera son apparition. La générosité qui consiste à faire des
promesses qu'on ne tiendra probablement pas ne dérange rien au budget.
18 millions, 35 millions, quelle importance? Si ça donne l'impression
qu'on a été prévoyant, ça devrait rapporter gros en bulletins de vote.
On espère surtout, au sein du gouvernement, que le Plan Nord fera la
job.
Depuis quelques jours, les étudiants sont dans la rue parce qu'on leur
demande d'éponger la dette de leurs universités qui ont toujours cultivé
davantage les déficits que les cerveaux. Les jeunes sortiront de
l'université endettés par des prêts qu'ils traîneront comme des boulets
pendant des années. Les enfants des CPE vivent dans l'instabilité parce
que les responsables n'ont pas de contrat de travail depuis deux ans.
Les aînés sont inquiets pour leurs pensions et les urgences des hôpitaux
ne débordent plus, elles éclatent. Les écoles ne sont pas saines. Elles
rendent les enfants malades. Mais quelle importance, puisqu'ils
parleront tous l'anglais fluently?
ivement un printemps québécois, histoire de remettre les pendules à
l'heure, de déterminer dans quelle sorte de pays on veut vivre, de
retrouver le sens de la mesure en même temps que le simple bon sens,
d'ouvrir un avenir plus brillant pour nos enfants que le «petit pain»
fabriqué dans le Grand Nord par un boulanger qui préfère, lui, manger
son pain beurré des deux côtés.
On dit qu'il se prépare un printemps québécois pour le 22 avril
prochain. On dit qu'il sera peut-être le premier «printemps tranquille»
du monde, ce qui correspondrait à ce que nous sommes profondément. On
dit qu'il faudra mettre en commun toutes nos bonnes idées, car nous
aurons tout un pays à nous reconstruire.
17 février 2012
|
Lise Payette
|
Québec
J'ai aimée lire cet article donc je vous en fait part
Quand je suis arrivée en politique, il y avait une histoire qui se
racontait dans le milieu à Québec, une histoire qui m'avait fait
beaucoup rire. C'était l'histoire de ce ministre qui rencontrait son
sous-ministre pour la première fois et qui lui tenait un long discours
sur la nécessité de toujours lui fournir les chiffres dont il avait
besoin afin de servir ses concitoyens au meilleur de sa connaissance.
Pour tester le sous-ministre, il lui demandait s'il était fort en
chiffres et le mettait à l'épreuve immédiatement.
— 2 + 2, ça fait combien?
Le sous-ministre réfléchit pendant un moment puis il répondit:
— Ça dépend. Combien voulez-vous que ça fasse, Monsieur le Ministre?
En politique, s'il faut en croire cette histoire, les chiffres peuvent
s'utiliser de beaucoup de façons. On peut transformer des pertes en
profits ou l'inverse, ça dépend de ce qu'on a à prouver. On peut choisir
de faire la démonstration que tout va bien dans le meilleur des mondes
ou d'afficher une satisfaction de soi qui devrait rassurer le bon
peuple. On peut faire le contraire en criant que tout va mal et
justifier ainsi qu'on aille vider les poches des citoyens à qui on
refile la facture parce qu'il faut remplir la caisse qu'on a vidée.
Le budget d'un gouvernement m'est toujours apparu comme une sorte de
conte pour enfants sages qui prennent les engagements des élus au
premier degré et qui ne voient pas les immenses trous qui devraient
susciter leurs interrogations. Nous devrions peut-être écouter avec plus
d'attention la présentation des budgets du gouvernement d'Ottawa ou
celui de Québec dans les semaines qui viennent. Que savez-vous des
derniers budgets des villes de Montréal, de Québec ou de Laval? Partout
le ton est le même, celui de nous convaincre que nos élus savent où ils
s'en vont, mais qu'il se peut qu'ils aient besoin de notre argent pour y
arriver. Un peu plus gros. Un peu plus cher. Rien de nouveau. La
chanson est toujours la même.
Chaque fois, pour ma part, je me dis que si on dirigeait des entreprises
comme les élus dirigent un pays ou une ville, il y a longtemps que nous
serions tous en faillite. Le cas de la Grèce, on le sait maintenant,
n'est pas unique. Je ne dis pas que toutes les entreprises sont bien
dirigées... oh que non. Ni les privées ni les publiques. Là aussi il y a
des abus visibles à l’œil nu. Quelques récentes fermetures devraient
nous aider à comprendre comment on devient riche en laissant les
travailleurs dans la rue. C'est un sport qui se pratique pas mal en ce
moment et ça fait encore plus mal quand les entreprises quittent le pays
en emportant les subventions que nous leur avons fournies pour qu'elles
s'installent chez nous.
Depuis quelques jours, le gouvernement Charest jette littéralement
l'argent par les fenêtres. Il met la table pour une élection qui
pourrait être déclenchée assez rapidement dès qu'une pointe de «ciel
rouge» fera son apparition. La générosité qui consiste à faire des
promesses qu'on ne tiendra probablement pas ne dérange rien au budget.
18 millions, 35 millions, quelle importance? Si ça donne l'impression
qu'on a été prévoyant, ça devrait rapporter gros en bulletins de vote.
On espère surtout, au sein du gouvernement, que le Plan Nord fera la
job.
Depuis quelques jours, les étudiants sont dans la rue parce qu'on leur
demande d'éponger la dette de leurs universités qui ont toujours cultivé
davantage les déficits que les cerveaux. Les jeunes sortiront de
l'université endettés par des prêts qu'ils traîneront comme des boulets
pendant des années. Les enfants des CPE vivent dans l'instabilité parce
que les responsables n'ont pas de contrat de travail depuis deux ans.
Les aînés sont inquiets pour leurs pensions et les urgences des hôpitaux
ne débordent plus, elles éclatent. Les écoles ne sont pas saines. Elles
rendent les enfants malades. Mais quelle importance, puisqu'ils
parleront tous l'anglais fluently?
ivement un printemps québécois, histoire de remettre les pendules à
l'heure, de déterminer dans quelle sorte de pays on veut vivre, de
retrouver le sens de la mesure en même temps que le simple bon sens,
d'ouvrir un avenir plus brillant pour nos enfants que le «petit pain»
fabriqué dans le Grand Nord par un boulanger qui préfère, lui, manger
son pain beurré des deux côtés.
On dit qu'il se prépare un printemps québécois pour le 22 avril
prochain. On dit qu'il sera peut-être le premier «printemps tranquille»
du monde, ce qui correspondrait à ce que nous sommes profondément. On
dit qu'il faudra mettre en commun toutes nos bonnes idées, car nous
aurons tout un pays à nous reconstruire.
D'autre photos
20:53:54
C'est la p'tite famille d'un de mes neveux et ils ont quelques peu grandit depuis . Photographié avec leur grand-maman Yvette.
Comme vous voyez leur premier garçon Philippe a grandit et ressemble a son papa quand il était jeune mais Stéphan était frisé , la seule différence.. ..
Stéphan a trois gars et trois filles et Nancy sa femme a les trois couples donc fini pour eux ...
En passant Step est le frère de France.
C'est la p'tite famille d'un de mes neveux et ils ont quelques peu grandit depuis . Photographié avec leur grand-maman Yvette.
Comme vous voyez leur premier garçon Philippe a grandit et ressemble a son papa quand il était jeune mais Stéphan était frisé , la seule différence.. ..
Stéphan a trois gars et trois filles et Nancy sa femme a les trois couples donc fini pour eux ...
En passant Step est le frère de France.
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