TF les rats en ville
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TF les rats en ville
Bonjour,
Le forum étanissa est transféré sur un autre serveur voici le lien qui vous permettra de poursuivre cette conversation.
http://etanissa.cwebh.org/voirtopic.php?t=49
source Francetv info
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Avec les beaux jours les rats sortent des égouts. Plusieures villes mènent donc des campgnes de dératisation pour limiter leur prolifération et non leur eradication. Car ils sont trop utile comme nettoyeurs des déchets.source Francetv info
Dernière édition par luz le Ven 19 Juil - 21:08, édité 1 fois
Re: TF les rats en ville
MONTRÉAL – La multiplication des chantiers de construction à
Montréal ainsi que la vétusté du réseau d'égouts de la métropole
contribuent à la prolifération de rats.
Il y aurait quelque quatre millions de rats dans la ville, soit deux pour chaque habitant.
On note annuellement une hausse de 5 à 10 % du nombre de plaintes
enregistrées par des citoyens et la situation continuerait de
s'aggraver, selon l'exterminateur Harold Leavy. Le phénomène ne serait
pas étranger aux travaux effectués dans certains quartiers de Montréal.
Oeuvrant dans ce domaine depuis 30 ans, M. Leavy explique que la
présence de rats survient habituellement aux endroits où la Ville
effectue une réparation dans le système d'égouts et à proximité des
chantiers.
«Quand il y a de la construction, ça veut souvent dire qu'il y a des égouts à ciel ouvert partout», a souligné l'exterminateur.
La situation pose particulièrement problème dans le centre-ville, où les
chantiers se multiplient. L'arrondissement Ville-Marie a toutefois
refusé de commenter l'affaire.
La Ville de Montréal a augmenté, depuis quelques années, les sommes consacrées à la rénovation des égouts.
Harold Leavy estime néanmoins que les élus ne prennent pas le problème des rats au sérieux.
Pour appuyer ses dires, il donne l'exemple d'un terrain vague de
Montréal où on retrouvait jadis deux usines ayant été démolies et dont
les tuyaux d'égouts n'ont jamais été murés, fournissant du coup un
passage rêvé pour les rats qui souhaitent remonter à la surface.
Un réseau fragilisé
La décrépitude du réseau d'égouts, composé de 6000 km de tuyaux, facilite également la vie aux rongeurs.
Selon un rapport de SNC-Lavalin/Dessau-Soprin, d'ici un peu plus de 20
ans, le quart du réseau sera périmé, ce qui représente 1500 kilomètres
de tuyaux.
De plus, certains travaux de construction viennent fragiliser les égouts
ce qui fournit chaque fois une nouvelle porte de sortie aux rats.
Pendant que les bestioles continuent de courir dans les rues de
Montréal, l'Alberta a complètement éliminé les rats de son territoire
depuis 1950 grâce à un programme d'éradication systématique.
Imposant notamment le murage des égouts lorsqu'on démolit un bâtiment,
le programme interdit également de posséder un rat domestiqué.
Il y aurait quelque quatre millions de rats dans la ville, soit deux pour chaque habitant.
Montréal ainsi que la vétusté du réseau d'égouts de la métropole
contribuent à la prolifération de rats.
Il y aurait quelque quatre millions de rats dans la ville, soit deux pour chaque habitant.
On note annuellement une hausse de 5 à 10 % du nombre de plaintes
enregistrées par des citoyens et la situation continuerait de
s'aggraver, selon l'exterminateur Harold Leavy. Le phénomène ne serait
pas étranger aux travaux effectués dans certains quartiers de Montréal.
Oeuvrant dans ce domaine depuis 30 ans, M. Leavy explique que la
présence de rats survient habituellement aux endroits où la Ville
effectue une réparation dans le système d'égouts et à proximité des
chantiers.
«Quand il y a de la construction, ça veut souvent dire qu'il y a des égouts à ciel ouvert partout», a souligné l'exterminateur.
La situation pose particulièrement problème dans le centre-ville, où les
chantiers se multiplient. L'arrondissement Ville-Marie a toutefois
refusé de commenter l'affaire.
La Ville de Montréal a augmenté, depuis quelques années, les sommes consacrées à la rénovation des égouts.
Harold Leavy estime néanmoins que les élus ne prennent pas le problème des rats au sérieux.
Pour appuyer ses dires, il donne l'exemple d'un terrain vague de
Montréal où on retrouvait jadis deux usines ayant été démolies et dont
les tuyaux d'égouts n'ont jamais été murés, fournissant du coup un
passage rêvé pour les rats qui souhaitent remonter à la surface.
Un réseau fragilisé
La décrépitude du réseau d'égouts, composé de 6000 km de tuyaux, facilite également la vie aux rongeurs.
Selon un rapport de SNC-Lavalin/Dessau-Soprin, d'ici un peu plus de 20
ans, le quart du réseau sera périmé, ce qui représente 1500 kilomètres
de tuyaux.
De plus, certains travaux de construction viennent fragiliser les égouts
ce qui fournit chaque fois une nouvelle porte de sortie aux rats.
Pendant que les bestioles continuent de courir dans les rues de
Montréal, l'Alberta a complètement éliminé les rats de son territoire
depuis 1950 grâce à un programme d'éradication systématique.
Imposant notamment le murage des égouts lorsqu'on démolit un bâtiment,
le programme interdit également de posséder un rat domestiqué.
Il y aurait quelque quatre millions de rats dans la ville, soit deux pour chaque habitant.
Re: TF les rats en ville
Des égouts de 78 ans
«C'est dans le Plateau que les besoins sont les plus pressants»,
explique Philippe Sabourin, porte-parole de la Ville de Montréal. Le
réseau souterrain de l'arrondissement est l'un des plus âgés de la
métropole. Les conduites d'eau potable ont en moyenne 88 ans, soit 30 de
plus que la moyenne dans le reste de la ville. Les égouts aussi du
Plateau sont plus vieux. Ils ont été installés en moyenne il y a 78 ans,
contre 55 ans pour le reste de Montréal.
Une entente négociée en 2009 entre Ottawa et Québec a prévu un transfert
de près de 400 millions de la taxe sur l'essence à la Ville de Montréal
pour lui permettre de réaliser des travaux sur ses infrastructures
souterraines. Une compilation des quelque 1700 projets réalisés ou
prévus d'ici la fin de l'année permet de constater que le programme a
grandement profité au Plateau-Mont-Royal. Il a reçu à lui seul 21,6
millions, la plus importante part parmi les 19 administrations de la
métropole.
La plus importante subvention a d'ailleurs été versée pour un projet
dans l'arrondissement du maire Luc Ferrandez: la reconstruction de
l'égout sous l'avenue du Parc, entre Mont-Royal et Laurier. Ces travaux
ont été financés grâce à une subvention de 5,6 millions en provenance de
la taxe sur l'essence. La deuxième plus importante subvention a été
quant à elle versée pour un projet dans l'arrondissement
Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Il s'agit de la reconstruction de l'égout
sous Sainte-Catherine, entre Jeanne-d'Arc et William-David.
Paradoxalement, c'est l'arrondissement dont les tuyaux d'eau potable
sont les plus âgés qui a reçu le moins de subventions. Outremont, dont
les tuyaux ont 92 ans en moyenne, a reçu un total de 3,7 millions en
subventions de la taxe sur l'essence.
«C'est dans le Plateau que les besoins sont les plus pressants»,
explique Philippe Sabourin, porte-parole de la Ville de Montréal. Le
réseau souterrain de l'arrondissement est l'un des plus âgés de la
métropole. Les conduites d'eau potable ont en moyenne 88 ans, soit 30 de
plus que la moyenne dans le reste de la ville. Les égouts aussi du
Plateau sont plus vieux. Ils ont été installés en moyenne il y a 78 ans,
contre 55 ans pour le reste de Montréal.
Une entente négociée en 2009 entre Ottawa et Québec a prévu un transfert
de près de 400 millions de la taxe sur l'essence à la Ville de Montréal
pour lui permettre de réaliser des travaux sur ses infrastructures
souterraines. Une compilation des quelque 1700 projets réalisés ou
prévus d'ici la fin de l'année permet de constater que le programme a
grandement profité au Plateau-Mont-Royal. Il a reçu à lui seul 21,6
millions, la plus importante part parmi les 19 administrations de la
métropole.
La plus importante subvention a d'ailleurs été versée pour un projet
dans l'arrondissement du maire Luc Ferrandez: la reconstruction de
l'égout sous l'avenue du Parc, entre Mont-Royal et Laurier. Ces travaux
ont été financés grâce à une subvention de 5,6 millions en provenance de
la taxe sur l'essence. La deuxième plus importante subvention a été
quant à elle versée pour un projet dans l'arrondissement
Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Il s'agit de la reconstruction de l'égout
sous Sainte-Catherine, entre Jeanne-d'Arc et William-David.
Paradoxalement, c'est l'arrondissement dont les tuyaux d'eau potable
sont les plus âgés qui a reçu le moins de subventions. Outremont, dont
les tuyaux ont 92 ans en moyenne, a reçu un total de 3,7 millions en
subventions de la taxe sur l'essence.
Re: TF les rats en ville
Bonjour,
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